LA SUPPRESSION DE NOS JOURNAUX DE CYCLISME AMATEURS ET LA COLÉRE DE VÉLO DORDOGNE. .
Cyclisme le mot de JR :
Rappelez-vous dans les années 60/70 "Cyclisme" c'était l'Organe officiel des comités régionaux d'Aquitaine, du Limousin, de l'Orléanais, du Poitou, et des Pyrénées ,
qui à détruit ce journal et pourquoi?
Rappelez-vous Après les réglementations de 1970 pour 1971 qui ont mis à la porte prés de 7 000 licenciés, et tous les changements suivant qui ont découragés les vieux et les jeunes , puis ils ont supprimés nos journaux L'ile de France Cycliste, la Picardie Cyclisme, La Normandie cyclisme, et maintenant Cyclisme.. C’est du suicide...
les preneurs de décisions de 2022 Comme les décideurs de 1970 qui ne s'appliquaient pas les règles qu'ils allaient imposer (voir L'Ile de France de l'époque), je pense je pense que les preneurs de décisions de 2022 non pas vécues le plaisir de l'amateur "le Jeudi ou le vendredi" de sortir de sa boîte aux lettres ce journal papier avec les photos, les résultats, les conseils, les courses à venir etc.. Sinon ils auraient trouvés une solution, car un journal papier ça se lit contrairement au journal numérique.
Nombreux sont ceux à penser que tous les journaux ont intérêt à se lancer dans l’e-papier , la version numérique, On comprend d’autant mieux cette idée quand on sait que 60% du prix de revient d’un journal est constitué par l’impression et la distribution.
Mais, on peut bien sûr aussi se demander si le lecteur de son côté est vraiment prêt à lâcher si vite son journal papier.
Certains spécialistes des nouvelles technologies sont d’avis que le journal sur e-papier restera un marché de niche. C’était le cas, du CD ou du DVD, par exemple. Pour vraiment remplacer le papier les ingénieurs devront encore faire un petit effort car ça restera toujours plus sympa de lire un bon gros bouquin sur la plage ou un journal dont les pages s’envolent.
Le journal papier se lit, le Journal numérique se survole.
Hélas un bon gestionnaire suffisait à sauver ces journaux , mais on préfére suivre l'effet mode.
L’Île de France Cycliste, c'est arrêtée au bout de 64 ans, le dernier numéro 2292 est paru le vendredi 8 février 2008
Cyclisme s’arrêté après 52 ans
Le passage à la couleur ce fut une erreur, ce n’était pas un besoin.
Un jour sur un salon j’ai suggéré une idée à un responsable. 1/Que les journaux comme L’ Ile de France Cycliste soient ouvert à l’UFOLEP, à la FSGT, et aux annonces et résultats de des départements limitrophes ce fut un nom de principe 2/Qu’il soit obligatoirement offert gratuitement à chaque demande de licence, sur le budget publicitaire du club, aux cadets, aux minimes et aux juniors et pourquoi pas à tout le monde 3/Je trouvais idiot un tarif plus cher pour les non licenciès , Réponse : Toujours au nom du principe le coureur doit faire l’effort de payer.
Comme si le vélo ne coutait déjà pas assez cher entre le matériel et les déplacements.
Conclusion de Jr : Réglementation instables depuis 1971,l’arrêt de nos journaux et très peu d’articles dans la presse régionale = Chute des licenciés et des spectateurs sur les épreuves route et piste. C'est un suicide
RETRO VELO DORDOGNE (canalblog.com)
06 décembre 2022
LA SUPPRESSION DU JOURNAL CYCLISME :
UN COUP DUR POUR LES ARCHIVISTES
La récente décision du président de Nouvelle Aquitaine constitue un véritable coup de massue pour les passionnés de vélo que nous sommes. Depuis 1969, ce bulletin de liaison nous assurait un maximum d’information. Succédant au journal l’Athlète, "Cyclisme" fondé de toute pièce par Jack Doyen avait connu une naissance difficile dans le monde de la presse, à une époque où l’on exigeait de nombreuses conditions pour obtenir le numéro de la commission paritaire qui assurait au journal une distribution postale rapide et à petit prix. Ce journal a connu de belles heures, surtout dans sa version blanche et noire où l’on pouvait trouver toute la vie du comité avec des procès-verbaux de réunion, des décisions fédérales, les montées de catégorie, photos, reportages, rubrique engagez vous, etc... Mais depuis l’arrivée de la couleur, son intérêt s’est tourné vers une décroissance progressive des informations. En faits, l’actualité s’est comportée à l’image de la chute de nos licenciés et si aujourd’hui la corde est finalement rompue, cela signifie que nous touchons le fond du seau et que notre vélo de proximité se situe dans l’agonie.
- Il n’est pas question de chercher ici des responsables, voire d’accuser des personnes. On sait que nous vivons un contexte difficile, une situation économique qui touche de plein fouet les pratiquants confrontés à des tarifs onéreux, un art de vivre et une mentalité tué par le progrès. Et si à cela on ajoute le faible nombre d’abonnements, la coupe est pleine. Mais a-t-on essayé de trouver du partenariat, des publicités pour soutenir cette presse ? Je ne pense pas et même je n’en sais foutre rien... Alors on se tourne vers le numérique, l’internet qui constitue la roue de secours privilégiée de la version papier, définitivement enterrée.
- Cette annonce voire cette décision n’arrangera pas du tout les futurs archivistes, passionnés et friands de nos courses de clocher. Lorsqu’il faudra rechercher des résultats et des classements de nos jeunes, internet ne donnera pas dans la durée ce que la version papier nous a laissé en héritage. Les hébergeurs actuels manquent de sérieux et de fiabilité. J’en sais quelque chose avec mon premier site "la Dordogne cycliste", laissée sur le carreau suite à un arrêt d’un hébergeur sans scrupules, qui a mis du jour au lendemain la clé sous le paillasson, me faisant perdre cinq années de recherche et de travail. Depuis, d’autres hébergeurs ont fait de même, condamnant le travail fastidieux de nombreuses petites mains abonnées au clavier.
- Tout cela pour dire que désormais, l’information cycliste va vivre des moments difficiles puisqu’elle ne sera plus visible dans la postérité. Et il ne faut pas compter sur la presse locale qui depuis longtemps ne cause vélo que pour le mettre plus bas qu’il ne se situe. Voilà pour mon coup de gueule, celui d’un serviteur âgé et qui va faire rire sans doute certains licenciés. Mais tant pis, au risque de me répéter, l’arrêt de Cyclisme constitue un acte très grave pour notre vélo local et aux conséquences qui ont été loin d’être évaluées.
"CYCLISME" de 1997 'Organe officiel des comités régionaux d'Aquitaine, du Limousin, de l'Orléanais, du Poitou, et des Pyrénées , 'Organe officiel des comités régionaux d'Aquitaine, du Limousin, de l'Orléanais, du Poitou, et des Pyrénées le modéle aurait du copier "L'IDF Cycliste" et ouvrir à l'UFOLEP et à la FSGT , et Qu’il soit obligatoirement offert gratuitement à chaque demande de licence, sur le budget publicitaire du club, aux cadets, aux minimes et aux juniors et pourquoi pas à tout le monde
L'ILE DE FRANCE CYCLISTE de 1971 le modèle presque parfait, il ne lui manquait que l'ouverture à l'UFOLEP et à la FSGT, et qu’il soit obligatoirement offert gratuitement à chaque demande de licence, sur le budget publicitaire du club, aux cadets, aux minimes et aux juniors et pourquoi pas à tout le monde
La NORMANDIE CYCLISME de 1972 le modéle aurait du copier "L'IDF Cycliste" et s'associer avec d'autres département comme CYCLISME et ouvrir à l'UFOLEP et à la FSGT , et Qu’il soit obligatoirement offert gratuitement à chaque demande de licence, sur le budget publicitaire du club, aux cadets, aux minimes et aux juniors et pourquoi pas à tout le monde
L' ORLEANAIS CYCLISME de 1995 le modéle n'était pas viable tout seul il fallait rester dans CYCLISME, copier "L'IDF Cycliste" et ouvrir à l'UFOLEP et à la FSGT , et Qu’il soit obligatoirement offert gratuitement à chaque demande de licence, sur le budget publicitaire du club, aux cadets, aux minimes et aux juniors et pourquoi pas à tout le monde
PICARDIE CYCLISME de 1995 le modèle ouvert à l'UFOLEP presque parfait, il ne lui manquait que l'ouverture à la FSGT, et qu’il soit obligatoirement offert gratuitement à chaque demande de licence, sur le budget publicitaire du club, aux cadets, aux minimes et aux juniors et pourquoi pas à tout le monde